à SAINT MAURICE LES BROUSSES
Eglise de St-Maurice date du XIXe siècle et fut restaurée en 2012 par la municipalité.
Ouverte tous les jours.
à SAINT HILAIRE LES PLACES
Découvrez les deux églises du bourg dont celle du Vieux St-Hilaire, édifice roman du XIIe siècle située dans un charmant hameau préservé. Récemment rénovée, on peut y observer les superbes vitraux de Léa Sham's ainsi que de belles fresques datées de l'origine de l'église. En été, de nombreuses expositions estivales y sont organisées en accès libre.
Eglise paroissiale (le bourg) : ouverte tous les jours de 9h à 17h. Chapelle Notre Dame de la Visitation (le bourg) : ouverte tous les jours. Eglise romane du Vieux Saint-Hilaire : ouverte en été pour les expositions, sur demande auprès de la mairie, le reste de l'année.
à RILHAC LASTOURS
L'église de Rilhac, des XIe et XVe sècles possède un beau chevet roman. L'église de Lastours est quant à elle, située sur l'ancienne motte castrale.
Eglises fermées sauf en période estivale. A Lastours : clés à la mairie. A Rilhac, clés auprès de M. Colleu. Renseignements en mairie au 05 55 58 12 35
à SAINT PRIEST LIGOURE
L'église, de style roman fut bâtie au XIIe siècle et reconstruite dans la seconde moitié du XVe siècle. Elle recèle quelques trésors tels que les statues de St-Christophe et St-Pierre, un retable en bois et une cuve baptismale. Vous pourrez également observer son clocher-mur du XIIIe siècle qui depuis 1867 est surmontée d'un aigle impérial.
Ouverte tous les jours.
à NEXON
L'église recèle des trésors de Saint-Ferréol, évêque de Limoges au VIe siècle auquel les nexonnais ont marqué un grand attachement. Le buste reliquaire tout d'abord, en cuivre doré, orné d'émaux champlevés, de cristaux de roche et de cabochons de verre, ainsi qu'un châsse en cuivre émaillée du XIIIe siècle en forme d'église. Construite entièrement en granit du pays, elle porte des traces de fortifications sur le clocher et la bretêche.
Ouverte tous les jours. Clés et livret d'information gratuit disponibles à l'office du tourisme.

à JANAILHAC
L'église, récemment rénovée, date du XIIIe siècle, et le choeur ainsi que les chapelles ont été construites au XVe siècle. A l'intérieur, les murs portent des armoiries ainsi que de superbes fresques (classées Monument Historique), exécutées du XVe au XVIIIe siècle. Certaines représentent des épisodes de la vie de Saint Eutrope.
Ouverte tous les jours en période estivale.
à SAINT JEAN LIGOURE
L'église, en partie romane, possède un beau portail limousin du XIIIe siècle à trois voussures, un clocher-mur perpendiculaire à la nef avec escalier extérieur et de superbes vitraux. Certains sont l'oeuvre du peintre Victor Gesta.
Eglise fermée, clés disponibles à la mairie.
à MEILHAC
L'église du XVe siècle, possède un étonnant clocher-mur partiellement recouvert de bardeaux de châtaignier. A l'intérieur, de nombreuses dalles funéraires sont encastrées dans le pavé; l'une d'elles comporte une croix à double traverse qui indiquerait la sépulture d'un abbé. Elle contient également un important mobilier, héritage de l'église de Saint-Martinet aujourd'hui disparue.
Ouverte tous les jours en période estivale. En dehors de cette période, clés disponibles à la mairie.
à BESSINES SUR GARTEMPE
Édifice des XIIe et XIIIe siècles. Elle fut refaite en partie au XVe siècle. La chapelle septentrionale porte les armes des Seigneurs de Razès-Monisme. Depuis le début du XIXe siècle, sur le mur nord extérieur de la 2éme travée de la nef, est encastrée une pierre gravée en calcaire : elle représente le symbole de la main bénissant avec 2 doigts repliés sur une croix grecque.
Parmi le mobilier cultuel, on remarque les statues de Saint-Léger et de Saint-Roch avec son chien ainsi qu'une Vierge en bois ancienne qui a perdu l'enfant qu'elle portait sur son bras. On peut admirer 2 vitraux de Francis Chigot : le curé d'Ars et la Vierge. Francis Chigot était un maître verrier renommé (1879-1960) a qui l'on doit de nombreuses créations de vitraux notamment ceux de la gare des Bénédictins de Limoges.
à BESSINES SUR GARTEMPE
Elle est située près de l'église Sainte-Anne et inscrite aux Monuments Historiques. Sur cette croix trilobée, on remarque un personnage crucifié dont seule la couronne d'épines évoque la souffrance (petit Jésus). Son socle porte la date de 1782. La pierre était celle de l’autel de l’église des Templiers avant l’autel actuel en bois. Elle est vraisemblablement beaucoup plus ancienne, et on peut penser qu'elle a été déplacée car elle n'apparaît pas à cet endroit là sur un plan de 1765 dressé sous les ordres de Turgot.