à BESSINES SUR GARTEMPE
C’est sa veuve qui fit édifier cette maison. Elle est connue aussi pour avoir fondé une vicairie à Saint-Jacques dans l’église de Morterolles. Au rez-de-chaussée, sur une pierre sculptée de la cheminée, est inscrit '1605', ce qui permettrait de dater l’édifice.
Ne se visite pas.
à BESSINES SUR GARTEMPE
En 1814, le pape Pie VII dormit une nuit dans l’auberge Pioche. Il promit une relique de la vraie croix pour l’église afin de remplacer celle perdue à la Révolution. Promesse qui fut tenue quelques années plus tard.
Ne se visite pas.
à BESSINES SUR GARTEMPE
Relais institué de 1584 à 1882 afin de permettre aux courriers royaux de changer de monture pour effectuer le trajet Paris-Limoges-Toulouse. A ce jour, il ne reste que la grange (privée, ne se visite pas).
à RAZES
A l'endroit actuel de la mairie est né Edgar Cruveilher le 17 février 1899. Il était radio naviguant d'Air France et a disparu avec Mermoz lors de sa 11ème traversée de l'Atlantique Sud le 7 décembre 1936 à bord de La Croix du Sud à 10h47. Il a effectué 5 500 h de vol.
à RAZES
Fait partie d’un ensemble de bâtiments avec l’habitation, la grange-étable, la boulangerie, le fruitier (belles accolades du XVème siècle). Construit en 1716, restauré dans les années 50 et remis en état de l’extérieur dans les années 80. A sa base se trouvait un poulailler et une porcherie. Classé aux Monuments Historiques.
L'ensemble de ces bâtiments est privé et ne se visite pas.
à LIMOGES
Cette fontaine, réalisée entre 1892 et 1893, est un exemple unique de granite rosé, bronze et porcelaine. Elle a été conçue par Gennuys, sous-directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs de Paris, ami du directeur de l'Ecole Nationale de Limoges. Porcelaines de grand feu et vasque proviennent de la manufacture Guérin à laquelle on doit les céramiques des halles centrales. Quatre garçonnets incarnent les différentes phases de l'industrie porcelainière : dessinateur, mouleur, sculpteur et peintre de décor.
Selon programmation, visite atelier pour les enfants de 6 à 12 ans "Fontaine à croquer". Renseignement à l'Office de Tourisme : 05 55 34 46 87.
à LIMOGES
La cour du Temple reliée à la rue du Consulat par un couloir (au n°22), s'ouvre sur un bel ensemble d'hôtels particuliers en granit et colombages, agrémenté de galeries à arcades et d'un élégant escalier renaissance. Un havre de paix en pleine zone piétonne, où l'on peut pleinement profiter des terrasses estivales.
à LIMOGES
Imposante est le mot qui vient à l'esprit ! Construit d'après les plans de Roger Gonthier, sur les terres d'un ancien couvent bénédictin, l'édifice fait la fierté des Limougeauds. Depuis 1929, l'immense coupole de 31 mètres de haut et son campanile attenant, qui s'élève à 61 mètres au dessus du sol, veillent sur la ville, coiffés de leur chapeau de cuivre. Pénétrez dans le grand hall et levez les yeux : outre de magnifiques sculptures allégoriques d'Henri Varenne, les vitraux art-déco de Francis Chigot prennent ici toute leur lumineuse valeur.
Visites guidées avec l'Office de Tourisme de Limoges. Tarifs : 6 € - 4 €. Inscription obligatoire au 05 55 34 46 87.
Le campanile n'est pas accessible durant la visite.
à LIMOGES
Elle est située dans le quartier pittoresque de la Boucherie. C'est une des 52 maisons bâties au début du XIIIème siècle dédiée au métier de la boucherie. Aujourd'hui, c'est un écomusée qui met en scène la vie de ces familles qui abattaient sur place, vendaient et cuisaient au rez de chaussée, vivaient dans les étages, tout en séchant des centaines de peaux de moutons et de porcs dans des greniers à clairevoie. Outils, photos de la rue en pleine activité, écrits, mobiliers témoignent avec émotion de l'intimité d'une communauté fidèle à ses traditions, à sa foi et à son métier.
Du 5 juillet au 28 août 2023 du mardi au samedi. de 14h à 18h. Limitée à 5 personnes.
Entrée libre. Un départ de visite toutes les 30 minutes environ.
à LIMOGES
En lieu et place de l'actuelle Place de la République s'élevait, à partir du IXème siècle, l'abbaye bénédictine Saint Martial. Importante étape et lieu de recueillement sur la Route Saint-Jacques-de-Compostelle, elle fut aussi un foyer artistique et intellectuel pour tout l'Occident médiéval chrétien. En effet, un scriptorium (atelier où des manuscrits étaient fabriqués) s’était développé dans l’abbaye et du Xème au XIIème siècle, l’art de l’enluminure y connut son âge d’or. Saint-Martial de Limoges, grâce aux « tropes » composées par les moines, est aussi devenue célèbre pour la musique polyphonique. Du nom de ces pièces de musique, naîtra le mot "troubadour" - celui qui interprète les tropes. C’est également grâce à Saint-Martial que des émaux champlevés ont pu être diffusés dans toute l’Europe. Tombée en déclin durant la Guerre de Cent Ans, l'abbaye fut abandonnée en 1789 puis démolie en 1792. Les trésors archéologiques de la crypte abritant les sarcophages de saint Martial et de sainte Valérie ont été redécouverts en 1962 lors de la construction d'un parking souterrain. Classée aux Monuments Historiques.
Fermée en raison d'une campagne de fouilles archéologiques.